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| July 2006 »
Webcam Objects
Premières propositions d'objets intégrant des composants éléctroniques.
Le premier est un miroir mural faisant office de borne airport.
Le second est un miroir à poser sur une table connecté à un ordinateur.
Ces deux objets reprennent la typologie de miroires traditionnels, normalement low tech.
Les cables éléctriques et autres voyants lumineux indiquent la présence de technologie.
Le choix du miroir fait référence au narcissisme de l'utilisateur ainsi qu'au jeu de regard:
"Je me regarde être vu".
Posted by aude at 15:34
Identity Censored
Quelques nouveaux essais pour imaginer comment on pourrait utiliser cette option de censurer l'identité de la personne.
Un peu comme un sorte de télécommande, on pourrait censurer ce que l'on veut selon la situation.
On pourrait par exemple imaginer que l'interaction puisse intervenir sur le son afin de le filtrer pour qu’il devienne méconnaissable.
Posted by |BRAM| at 0:36
Philippe Rahm, Architect
The architect Philippe Rahm has joined the *Variable environment/* Ra&D project for a week of work with the assistants.
Mr Rahm's architectural works and space experimentations deal often with invisible or physiological aspects of space. Distortions and displacements are at work in its architecture revealing new spatial conditions.
Several books have been published about his work, among them Physiological architecture by Birkhäuser editions and Distortions by HSX editions in partnership with FRAC Lorraine and Centre Culturel Suisse.
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Philippe Rahm is also a teacher for architecture at the Architectural Association, London and at the Accademia di Architettura Mendrisio.
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Posted by patrick keller at 17:09
"Variable environment: function follows climate" ar&d workshop
Works & Projects Presentation
ecal 12.06.2006 (1h20, video flash8)
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Variable environment : function follows climate
Research project by ECAL & EPFL supported by University of Applied Sciences, Western Switzerland, Workshop juin 2006, Philipppe Rahm
Texte de Philippe Rahm (PDF file)
Une archéologie de l’habitat
Il existe une archéologie de la typologie architecturale. C’est un champ jonché d’anciens programmes, de chambres dont on a perdu l’usage : ruines d’activités aujourd’hui révolues, de modes de vie passés, d’organisations architecturales désuètes, de fonctions caducs. Il en reste les noms, lesquels ne nous disent plus grand chose. Ce sont des désignations de pièces ou de types de maisons que l’on n’arrive plus ni à décrire ni à classer ni à en comprendre l’usage : bourne, chauffoir, burons, vivoir, caouhade, voûte, zadrouga, rafraîchoir, communautés taisibles, ramonétages, currals, etc. Autant de lieux que l’on ne sait plus habiter aujourd’hui et que l’on ne pourrait plus non plus concevoir. Lorsque Le Bernin présenta ses plans du Louvre, le ministre Colbert s’inquiéta de savoir où le roi dormirait. Le Bernin lui répondit que ce type de questions n’intéressait pas les architectes mais seulement les intendants. Les architectes de la cour ne s’occupaient pas de la distribution des pièces. Assister au lever ou au coucher du roi était alors un acte public.(Lucius Burckhardt, « Schweizer Möbel und Intérieurs im 20. Jahrhundert » , Birkhäuser – Verlag, Basel ). La conception et l’organisation spatiales de l’habitat et de la ville ont ainsi fortement varié à travers l’histoire et la géographie. Elles décrivent des modes de vie et des comportements sociaux qui suivent ou engendrent des types de plans et d’espaces architecturales qui peuvent aujourd’hui sembler incongrus. Ainsi, dans de nombreux villages de France, on trouvait autrefois une pièce que l’on appelait « la voûte », à la fois séjour, étable et fumier dans laquelle on pratiquait la veillée en hiver pour profiter de la chaleur animal et de celle dégagée par la fermentation. Dans les îles Aléoutiennes, les habitants se regroupaient jusqu’à trois cents durant l’hiver, dans une sorte de grande maison communautaire où ils partageaient un même foyer tandis que l’été, ils reformaient des cellules familiales sous tentes. (Pierre Deffontaines, « L’homme et sa maison », Gallimard, Paris,1972). Et l’on pourrait multiplier les exemples de ces programmes hybrides ou totalement inconcevables aujourd’hui comme le Tué jurassien, salle qui est tout à la fois cheminée, séjour et boucherie puisqu’on y conservait dans la fumée jusqu’à 3 boeufs entiers. Ou encore en France, ces rez-de-chaussée mi-enterrés extrêmement humides que l’on occupait pour tisser le lin afin que les fils ne soient pas trop secs pour ne pas se casser.
Ce qui nous intéresse ici n’est pas tant l’évocation d’autres modes de vie que la manière dont un problème ou une solution spatiale typiquement architecturale (lutter contre le froid, subir l’humidité, etc.) ont pu provoquer l’émergence de modes de vie nouveaux et imprévues. Ainsi le moucharabieh, dont la densité d’ouverture est liée à la fois à une volonté d’abaisser l’intensité de la lumière naturelle et à un mode de rafraîchissement par accélération de la vitesse de l’air par densification de la filtration du claustra, provoque cette relation ambiguë entre l’intérieur et l’extérieur et tout le jeu social qui en résulte. Bien évidemment, l’histoire n’est pas linéaire et le jeu social du moucharabieh s’est certainement superposé rapidement à son rôle thermique, l’un et l’autre pouvant aussi avoir été conçus en même temps, à la manière de l’histoire de l’oeuf et la poule. Il n’empêche que notre intérêt est de renverser la fonction et le climat, d’émettre l’hypothèse d’une architecture dont la fonctionnalité émergerait « comme par hasard » de problèmes ou de réponses climatiques. Ce qui nous intéresse est ici est la capacité de l’architecture de ne pas être fonctionnelle mais d’être ouverte, interprétable, libre, c’est-à-dire de ne pas répondre à une fonction préétablie, mais plutôt de suggérer, de rendre possible, à travers ses réponses aux problèmes climatiques ou techniques,l’émergence, presque malgré elle, d’une fonction. La programmation architecturale s’accorderait alors aux théories de l’évolution, celles de Lamarck d’abord puis de Jacques Monod ou de François Jacob en particulier, lesquels stipulent le rôle du hasard dans l’apparition et l’évolution des formes de vie. Rien de prédéterminé, rien d’immobile, mais une série de transformations contingentes, qui vont transformer les modes d’habitation et les comportements sociaux. Ici en effet, certaines fonctions, certains programmes, certains usages sociaux apparaissent par hasard ou par nécessité dans la gestion des formes climatiques de l’architecture. Et rien n’est définitivement fixé. Ce qui nous intéresse est bien ici de rendre l’espace construit plus libre, de le sortir de sa détermination fonctionnelle univoque pour le rendre interprétable.
La programmation monofonctionnelle des pièces dans lesquelles nous habitons aujourd’hui trouve son origine au début du XIXe siècle, avec l’invention du corridor dans la maison bourgeoise. Chaque pièce prend alors une fonction spécifique : chambre d’enfant, bibliothèque,boudoir. D’autres pièces sont inventées au XXe siècle comme la fameuse cuisine de Francfort, de dimensions minimums, créé en 1927. Nous habitons finalement dans un paysage intérieur plutôt récent et dont certaines fonctions commencent à régresser comme la salle à manger par exemple, laquelle tend à disparaître en tant qu’espace indépendant. Il existe donc une sorte d’évolution de la typologie architecturale à travers l’histoire, avec ses genres disparus, ses espaces en voie d’extinction, ses programmes émergents. Nous situons notre travail à ce dernier niveau, dans la volonté de faire émerger de nouvelles typologies d’habitat en fonction de la modification des modes de climatisation du bâtiment liés au développement durable. Mais notre ambition n’est pas d’inventer de nouvelle fonction de pièces, mais plutôt de libérer l’espace de la fonction ou plus exactement de laisser libre l’interprétation fonctionnelle de l’espace.
Posted by |BRAM| at 11:35
Une architecture interprétable
Notre propos pour le workshop « Variable environment » est de tester une architecture qui ferait apparaître des fonctions comme « un jeu de dés », selon une équation où la concordance de paramètres climatiques (Température T, intensité lumineuse lux et humidité relative HR) généreraient un possible usage de l’espace : T x lux x HR = forme et fonction. La variation de l’environnement climatique produira alors également une variation programmatique. La méthode qui est ici proposée renverse effectivement le procédé moderne du « Form follows function » lequel appelle à dessiner l’architecture selon un programme prédéterminé.
Ce procédé moderne s’est aujourd’hui accéléré au point de confier aujourd’hui en France la conception et la rédaction du programme non plus aux architectes mais à des programmistes, le rôle de l’architecte se réduisant à celui de mettre en forme et d’appliquer un programme préétabli et dont il ne peut plus être ni critique ni auteur. Parce que le programme est préétabli en amont, l’architecture devient une crispation du moment moderne et empêche l’évolution des typologies architecturales en fonction des transformations contemporaines des sociétés. L’architecture doit permettre l’évolution des modes d’habitation dans ce même rapport d’influence du climat sur les sociétés que décrit Jared Diamond où les variations de milieu transforment le cours de l’histoire des peuples.
Le workshop est une étude des possibilités qu’ont les variations climatiques de l’espace de suggérer librement différentes fonctions et usages de l’espace. Les réponses qui sont données ici ne sont en aucun cas univoque. Ce sont des possibles, ces sont des interprétations, et bien évidemment pas les seules réponses. Nous nous inspirons alors de l’histoire de l’habitat où les données climatiques ont généré des fonctions, à l’instar des pièces peu lumineuses orientées vers le Nord et l’Ouest dans lesquels les tisserands de soie lyonnais travaillaient afin que le soleil ne ternisse pas les teintes des soieries. Où encore cette pièce au nord de la maison limousine, humide et froide, sorte de réfrigérateur archaïque que l’on appelait la laiterie et dans laquelle on conservait le beurre et le lait. Nous nous appuyons aussi sur les préconisations ergonomiques lesquelles conseillent des niveaux d’éclairement ou de température ambiante en fonction de l’activité et de l’habillement ; un travail manuel précis exigeant une intensité lumineuse plus forte par exemple, ou une activité physique lourde appelle à une température de l’espace plus faible. Nous faisons référence également aux préconisations thermiques définies dans l’optique d’une réduction des dépenses énergétiques dans le cadre du développement durable. Quant au taux d’humidité relative, il suggère des lieux, comme la cave.
Nous travaillerons sur 3 paramètres climatiques, celui de la température, celui de l’intensité lumineuse, celui du taux d’humidité relative qui seront comme les trois termes d’une équation qui donneront dans leurs conjugaisons un plus grand nombre encore de possibilités. Ainsi les variations de température définiront les variations de l’habillement, entre le nu à 28°C, la tenue légère à 23°C et la tenue d’extérieur à 16°C. Elles définiront le sujet. Les variations d’intensité lumineuse définiront des activités possibles du sujet dans l’espace. Elles seront le verbe qui conjuguera le sujet. Quant au taux d’humidité, il suggérera un lieu comme complément. Ainsi, les trois termes formeront des combinaisons et inventeront certaines actions de certains sujets dans certains lieux, de façon aléatoires, comme invention possible d’usage d’un lieu.
Posted by |BRAM| at 11:30
Mode de travail et but du Workshop
Pour effectuer des mesures dans l’espace, Philippe Rahm a composé une grande salle subdivisée en plusieurs petites pièces par des capteurs mesurant à chaque fois ces 3 éléments (humidité, température et lumière).
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De ces résultats mesurés dépendra une action dans une pièce.
Chaque événement sera représenté par des animation vidéos qui montre ce qui est possible ou ce qui pourrait se produire dans ces cas là.
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Pour ce faire, nous avons élaboré un tableau en 3 parties (température, humidité et luminosité)
La température fera appel à 3 phases
- Nu (chaud)
- Habillé Léger (moyen)
- Très Habillé (froid)
La luminosité sera liée à 4 activités
- Etudier
- Cuisiner
- Faire du sport
- Dormir
L’humidité sera liée à 4 environnements spécifiques :
- La cave (90%)
- La salle de bain (80%)
- Cuisine (40%)
- La salle de conférence
Ce qui nous perme de lier chaque objet entre eux et d’avoir 3x4x4 possibilités.
Notre travail a donc consisté à trouver un système de représentation graphique de tout ces événements et ce ceci dans un esprit "modulaire" afin de pouvoir regrouper chaque élément avec l’autre pour recréer ces situations.
Posted by |BRAM| at 11:30
Propositions de représentations graphiques
Dans un premier temps, nous avons effectué plusieurs essais de représentations.
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En photo:
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En photo montage:
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Et en dessin:
Pour finalement retourner à quelque chose de plus "scientifique" mais tout en gardant un côté "humain" de la représentation.
Posted by |BRAM| at 11:29
Objets hybrides
Au fur et à mesure de ces essais, nous avons réfléchi à une possibilité d’avoir des objets hybrides.
Par exemple au lieu de faire du sport dans une salle de cinéma, on pourrait directement remplacer les sièges de cinéma par un tapis roulant afin de faire du sport dans cette espace.
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Posted by |BRAM| at 11:28
Multifonctionnalité des objets
Finalement, nous nous somme focalisés sur une sorte de "multifonctionnalité" des objets afin des les rendre indéterminable et sans utilisation précise.
Par exemple une espèce d’armoire mais dont les proportions nous font penser à un lit ou une cuisinière. Ou une armoire qui fait office de siège.
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Posted by |BRAM| at 11:27
Représentation humaine
Voici quelques essais sur les personnages après avoir décidé d’utiliser un rendu "vectoriel".
Afin de garder un côté humain et naturel dans les poses, il nous a fallu prendre modèle sur des images réelles.
La façon de montrer si un personnage est habillé ou non est également très importante.
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Posted by |BRAM| at 11:25
Représentation de l’espace
La représentation de l’espace ou se déroule est aussi passée par plusieurs étapes graphiques.
Elle devait montrer plusieurs informations :
- l’humidité, représentée par des petits points
- la chaleur, représentée par la couleur (rouge, vert, bleu)
- la luminosité, représenté par un éclaircissement ou un assombrissement de la couleur
- les personnages, habillé ou non, et en mouvement
- les objets mobiliers
Le problème dans les premières versions, c'est que l'on a trop d'informations, l'image est trop petite etc. Du coup on ne distigue plus ce qu'il se passe.
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De plus, il ne fallait pas cloisonner l’espace en une sorte de cage. Nous avons donc éliminé les arrêtes du cube pour garder quelque chose de moins fermé.
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Animations des différentes versions en vidéo flash8 ici
Posted by |BRAM| at 11:24
Results & Conclusions with Philippe Rahm
project's workshop presentation and thematic resume by Philippe Rahm (25min, vidéo flash8)
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The architectural application *form & function follow climate* (30min vidéo flash8)
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Final conclusion by Philippe Rahm (4min vidéo flash8)
Posted by |BRAM| at 11:24
Motes & senseurs
Pour information et en relation avec le workshop de Philippe Rahm qui a lieu cette semaine, l'EPFL développe et travaille avec des réseaux de capteurs, en particulier des senseurs environnementaux.
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Le groupe MICS (pour Mobile Information and communication Systems) qui travaille au développement de tels outils est en réalité un centre national de compétence qui regroupe des laboratoires de l'EPFL et de l'EPFZ.
Plusieurs projets "appliqués" donc (voir la section *Research* du site), en particulier Sensorscope, "environmental monitoring" en milieu alpin
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ou encore le projet Watersense, destiné lui a gèrer l'approvisionnement en eau pour l'agriculture dans les pays en voie de développement.
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Posted by patrick keller at 16:35
T-Shirt télécommande
Autre proposition de "T-shirt télécommande"
Posted by |BRAM| at 1:32
Les signes de base
Download file
Posted by tatiana at 22:00
"AR" T-shirt (exemple)
Posted by tatiana at 21:55
Habit télécommande
Bram proposait un T-shirt télécommande. Je trouverai pas mal que les signes soient integrés à un motif plus régulier, de façon à ce qu'on n'ait pas d'emblée l'impression qu'ils remplissent une fonction particulière.
Posted by tatiana at 21:45
Affiche
Essais avec un pattern sur une affiche.
Posted by tatiana at 21:41
Le Mur TV Interactif
Panasonic a développé une sorte de mur TV Interactif.
Sur ce mur on peut regarder la TV, surfer sur Internet, lire ses emails, écouter de la musique, jouer etc.
Intéressant dans l’optique de la réalité augmentée, le mur peut afficher un simple paysage, simuler un piano (utilisable), une horloge. Toutes les fonctions de la vie de tous les jours sont représentées dans ce mur.
La vidéo montre très bien le fonctionnement de l’objet.
> article + video
Posted by |BRAM| at 15:08
Applications
ID-Shirt
L’idée générale de cette application est de fournir un maximum d’informations sur la personne, ceci grâce à un badge posé sur le vêtement qui fait office de signe de reconnaissance mais aussi de mémoire.
Dans cette mémoire sont stockées toutes les données nécessaires et qui peuvent être téléchargées par un système bluetooth/wifi sur le téléphone de l’utilisateur.
C’est donc un système qui permet de connaître un individu en la regardant avec son propre téléphone.
Dès que l’on vise le signe de la personne, un menu s’affiche avec différentes options. Une info globale, un texte plus précis, images, sons, vidéo etc. Toutes ces informations sont directement téléchargeables depuis le badge mémoire/signe.
Censored-Shirt
Ici il s’agit d’une action unique, mais toujours en relation avec l’identité d’une personne.
Le signe permet simplement de « cacher » son identité à travers le téléphone.
C’est plus pour signaler que l’on ne désire pas donner d’information sur nous plutôt que de vraiment se rendre inconnu/invisible.
In relation to this application, check out the "on-off" AR video test.
TV-Shirt
Ici je reprends l’idée de la télécommande. Dans ce cas précis, le t-shirt sert à commander la télévision avec des actions simples comme passer à la chaîne suivante ou précédente, éteindre et allumer.
In relation to this application, check out the "on-off" AR video test.
POST-IT
Le post-it servirait lui à laisser une forme de message, mais autre ou en plus de l’écrit.
Selon la forme du message (texte, vidéo, son, image) que l’on veut faire, on dessine le signe sur le post-it, on enregistre notre message dans une source de stockage (une boîte post-it) et le message serai disponible pour la personne concernée. En fonction du signe, le téléphone saura si le document à lire est une vidéo, une image ou autre chose.
Posted by |BRAM| at 0:31